Les derniers millésimes, en bref
2011
Millésime étrange et mystérieux, fort décrié dans un premier temps et réhabilité ensuite.
Un printemps franchement estival, juillet noyé sous les intempéries et le retour d’un temps sec et chaud à partir de la fin août.
Bref, des vacances fichues pour les touristes, et des vendanges chaotiques sans doute, mais avec un résultat fort satisfaisant.
Du moins pour les vignerons attentifs et soigneux … comme le sont tous les vignerons sélectionnés par le Cavin !
2010
C’est dur de venir juste après un millésime d’exception !
L’année se caractérise par un printemps et un été généralement frais et très sec, sauf en Bourgogne et Beaujolais où les précipitations provoquèrent des pourritures nécessitant un tri draconien lors de la vendange.
Comme souvent ces dernières années, une arrière-saison chaude et sèche sauve le millésime.
Partout, les rendements sont très faibles, ce qui favorise la concentration des vins … mais pousse les prix à la hausse !
Globalement, une bonne année.
2009
Millésime digne de tous les superlatifs, quel que soit le vignoble d’origine. Les vignerons en pleurent de joie et évoquent des années mythiques comme 1947 ou 1959. Comme l’été a été très sec, les rendements sont faibles … mais quel nectar ! Dès que ce millésime apparaîtra sur le marché, faites-en provision : vos bouteilles seront délicieuses et de grande garde.
2008
Un été calamiteux passé les pieds dans l’eau a obligé les vignerons à être particulièrement attentifs aux attaques parasitaires. Une fois de plus, l’arrière-saison, sèche et ensoleillée, permet de sauver la mise : les rendements sont faibles mais les vins sont de qualité. Des rouges charnus et structurés quoiqu’un peu moins concentrés que les années précédentes, des rosés pleins de relief et d’arôme et des blancs vifs et fruités font de 2008 un millésime très honorable
2007
Avril estival, puis un temps quasi automnal, trop froid et très pluvieux, jusqu’à la fin août.
Bref tous les ingrédients pour un tout petit millésime.
Mais de début septembre à la mi-octobre, le beau temps a permis de rattraper le déficit de maturité et de sauver la vendange.
Les vins sont agréables, avec du corps et de très beaux tanins. Les professionnels de la vigne le considèrent comme un véritable millésime miracle
L’année se caractérise par un printemps et un été généralement frais et très sec, sauf en Bourgogne et Beaujolais où les précipitations provoquèrent des pourritures nécessitant un tri draconien lors de la vendange.
Comme souvent ces dernières années, une arrière-saison chaude et sèche sauve le millésime.
Partout, les rendements sont très faibles, ce qui favorise la concentration des vins … mais pousse les prix à la hausse !
Globalement, une bonne année.